9 Juillet 2016
Le baiser nominal : simple apposition des lèvres.
Le baiser direct : les deux lèvres s’appliquent directement, en face à face.
Le baiser incliné : la tête penchée, chacun tend ses lèvres vers celles de l’autre.
Le baiser mouvant : la femme presse entre ses lèvres la lèvre inférieure de son amant, et l’introduit dans sa bouche avec un mouvement de succion.
Le baiser touchant : la femme touche avec sa langue la lèvre de son partenaire.
Le baiser frotté : une fois la lèvre inférieure de l’homme engagée dans la bouche de l’amante, celle-ci la lèche en la frottant très délicatement.
La boîte : la femme saisit les deux lèvres de son compagnon avec les dents et les suce goulûment. Elle peut ensuite frotter son palais avec sa langue.
Le combat de lèvres : on parie à qui saisira le premier, avec ses lèvres, la lèvre inférieure de l’autre.
Bon pour la santé
Lors d’un baiser, ce sont douze muscles des lèvres qui sont activés et dix-neuf de la langue, soit trente et un dans un "french kiss". Une minute de ce bouche-à-bouche permettrait de brûler autant de calories qu’une course de cinq cents mètres. Le baiser serait par ailleurs aussi efficace qu’un chewing-gum pour aider à la digestion !
Un baiser, ce sont également 9 mg d’eau, 700 mg d’albumine, 1,7 mg de matières grasses, 0,4 mg de sels et 100 mg de substances organiques qui sont échangées entre les partenaires. Le baiser, véhicule à bactéries ? Sans doute, mais comme l’affirme avec humour un médecin américain, Samuel Katzoff, « un vrai baiser engendre tant de chaleur qu’il détruit les microbes »